-la création d’un pass sanitaire ou d’un passeport vaccinal,

-le référendum envisagé par le Président de la République pour inscrire l’environnement dans la constitution,

-la proposition de loi sur «une fin de vie libre et choisie» et les réflexions des citoyens sur ce sujet de société.

Comme toujours, les prises de parole ont été de qualité, diverses et engagées !

Quand bien même l’examen de l’ensemble du texte n’ait pu se faire avant la clôture, cette nuit, des travaux parlementaires, l’assemblée nationale a exprimé, à plusieurs reprises, par des votes afférents à cette proposition de Loi, bien au delà des groupes politiques, un assentiment massif à l’existence d’un droit à choisir sa fin de vie, dans des situations et des conditions précises.

Fort de cela, et de l’énergie déployée par certains députés pour créer ce droit individuel, il appartient au gouvernement de reprendre le sujet, et de poursuivre les travaux avant la fin de la législature.

Les discussions ont aussi porté sur la crise de la COVID-19, la lassitude générale et la situation économique de notre pays.

Alors que le personnel de santé est au front depuis le printemps 2020, les soignants ont plus que jamais besoin du soutien de leur autorité de tutelle.

Les structures hospitalières et leurs agents veulent une feuille de route claire et précise, et des moyens humains supplémentaires. À défaut, le système ne tiendra pas.

Il est indispensable que l’ARS envisage une concertation approfondie avec les établissements privés pour permettre une prise en charge plus importante et plus rapide des patients atteints de la COVID-19.

Un seul mot d’ordre : agir. Avant qu’il ne soit trop tard.

Des sujets variés ont été abordés tels que la stratégie vaccinale, la situation économique du pays, le projet de loi « climat et résilience », et bien sûr les projets et travaux à venir dans les villages !