Parce qu’en 2019 c’est 146 femmes qui n’auraient pas dû être tuées par leur conjoint ou ex-compagnon ; parce qu’en 2018, c’est 121 femmes qui n’auraient pas du être tuées par leur conjoint ou ex-compagnon, parce qu’en 2017…

Désormais, ça suffit ! Place aux actes !

Les travaux menés sous le quinquennat Macron n’ont fait que mettre en lumière des évidences bien connues sur les violences conjugales (physique, psychologique, économique). Mais sur le terrain, les difficultés restent nombreuses et les conséquences pour ces femmes, directes.

Le Gouvernement ne peut plus se contenter de paroles sur un tel fléau, mais doit accorder les moyens budgétaires utiles à le combattre, modifier des pratiques, et engager «un pacte d’Etat contre la violence conjugale» (comme d’autres pays ont su le faire).

Et si vous êtes victime ou témoin d’actes de violences à l’encontre d’une femme, téléphonez au 3919, ou appelez le 17 (police)

Tel est notamment l’objet de la nouvelle lettre que j’ai adressé au Premier Ministre ce jour, après avoir travaillé en visioconférence en début de matinée avec la Fédération des Commerçants de France. Le niveau de gravité de la situation humaine et financière de certains commerçants, restaurateurs et autres acteurs économiques, frappés par une décision de fermeture administrative, est hélas sous estimé.

Je continue, avec les outils parlementaires à ma disposition, à défendre ardemment la vie économique dans les territoires. Il en va de leur survie !