Répondre au choc économique par de vraies mesures d’ampleur

L’épidémie que nous traversons a provoqué un terrible choc économique.
Afin de garantir au maximum la pérennité de nombreuses entreprises, mais aussi adopter de nouvelles règles ou en assouplir d’autres, il faut passer par la loi. Le projet de loi de finances rectificatives (à la hauteur des enjeux) en donne l’occasion demain à l’assemblée nationale.
Avec mon groupe politique, en responsabilité et dans la continuité de mes actions depuis plusieurs semaines, j’ai proposé de nombreux amendements sur ce texte.
A titre d’exemples :
🔵 Une annulation pure et simple de l’ensemble des charges sociales et fiscales pour les entreprises ayant pu bénéficier d’un report de charges
🔵 Une augmentation de 2 milliards d’euros du montant du fonds de solidarité et la demande d’extension de ses conditions d’intervention
🔵 Une prise en charge par l’Etat des intérêts consécutifs aux reports des crédits bancaires
🔵 Une défiscalisation complète des heures supplémentaires réalisées pendant le confinement
🔵 Un taux de TVA réduit sur les masques et sur les gels hydro-alcooliques
🔵 Une demande de rapport sur la création d’un régime indemnitaire de catastrophe sanitaire, afin de mobiliser les assureurs

Comme partout, le cœur battant de la démocratie qu’est l’Assemblée nationale, fonctionne de façon particulière afin de garantir la sécurité de tous. Ainsi, pour mon groupe politique seulement 4 députés (sur 104) sont autorisés à entrer dans le Palais Bourbon. C’est donc à distance que je travaille sur les textes législatifs en cours et suis les débats. J’ose espérer le meilleur de la Loi à venir.